Il avait eu l’audace de faire chanter Purcell en chaussures de ski. Après le succès du Crocodile trompeur ou d’Orfeo, Samuel Achache s’attaque à la musique anglaise des premières décennies du XVIIe siècle. Exhumant tout un tas de perles musicales injustement oubliées, le brillant chef d’orchestre Sébastien Daucé a fait appel à l’un des metteurs en scène les plus prometteurs de sa génération pour infiltrer joyeusement le chaos dans les codes et usages de la musique classique. Un soir de noce qui tourne mal… et la mariée s’enferme dans les toilettes, absorbée par ses rêveries. Dans un univers absurde et tragique, la magnétique mezzo-soprano Lucile Richardot mène les réjouissances tambour battant.
Une production de l’ensemble Correspondances et La vie brève.
Une coproduction du Théâtre de Caen, du Théâtre de Lorient – Centre dramatique national de Bretagne, de la Comédie de Valence – Centre dramatique national Drôme-Ardèche, du Théâtre de Cornouaille – Scène nationale de Quimper – Centre de création musicale, de la Fondation Royaumont avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina Carasso, du Théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi, et du Théâtre de la Croix-Rousse.
Avec l’aide du Centre culturel de rencontre d’Ambronay, de la Fondation Musica Solis, de la Fondation Jan Michalski pour l’écriture et la littérature, du Fonds pour la création musicale, de l’Adami et de la Spedidam.
En coréalisation avec Points communs et la Nouvelle Scène Nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise.